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Un corps mutilé retrouvé à Vinewood Hills


Jaguar
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(( ATTENTION : la description de la scène de crime peut heurter la sensibilité des plus jeunes ou d'un public non-averti. Par respect des règles en vigueur sur le serveur, la description se trouve en couleur blanche ci-dessous. Nous déclinons toute responsabilité en cas de traumatisme quelconque; ceux qui s'aventureront dans la lecture de ces quelques lignes le feront selon leur libre conscience et en prenant en considération ce message d'avertissement. ))

Le corps sans vie retrouvé la nuit du 9 décembre 2022, dans un local poubelles, à Vinewood Hills, est celui de Francis Bondarenko, âgé de 25 ans.
Les traces de strangulation et l'examen du légiste confirme qu'il est mort par étranglement sans usage d'un objet quelconque. Deux plaies à l'arme tranchante sont présentes au cou. L'arme semble la même qui fut utilisé dans d'autres affaires. Le torse de la victime est couvert d'une dizaine de plaies à l'arme tranchante et son bras gauche est tailladé.

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  • 3 weeks later...
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 La nuit du 9 décembre 2022 au soir, une FBI Evidence Response Team (FBI ERT) était présente sur les lieux suite au signalement de la découverte du corps.
 
L'agent spécial Severide, dès son assignation à la FBI Violent Crime Task Force (FBI VCTF), le 14 décembre, s'est déplacé auprès du médecin légiste en charge de la dépouille de la victime.
 
1. Afin de s'assurer que le meurtre de Francis Bondarenko soit bien relié aux deux précédents, celui-ci étant survenu après le communiqué du FBI au sujet d'un possible tueur en série, Il demande au légiste si une plaie est apparente au niveau de la tempe droite de la victime.
 
2. Dans le but de définir un profil purement physique du meurtrier (corpulence, poids), il lui demande les résultats toxicologiques du corps de la victime. (alcool, drogues) afin d'écarter ou confirmer l'hypothèse qu'une drogue ait pu contribuer à affaiblir la victime avant son meurtre et donc ne pas lui permettre de se défendre ou se débattre.
 
3. Il l'interroge aussi sur la nature des taillades au niveau du bras gauche et leurs positionnements afin de savoir, toujours d'après l'expertise du légiste, si le meurtrier était positionné derrière ou devant sa victime lorsqu'il lui a infligé ces blessures. Etant donné que la victime est morte par étrangement, le fait qu'il soit derrière ou devant permet donc de définir si le meurtrier lui a tailladé le bras postérieurement ou antérieurement à sa mort, et d'en déduire si le but était de l'affaiblir ou était particulièrement intentionnel.
 
4. Indépendamment de la réponse du légiste,  dans l'optique de vérifier si une quelconque preuve ADN ou élément quelconque est disponible, il l'interroge sur la possibilité que la victime se soit débattue, et si oui, si un résidu de peau ou de vêtements a été retrouvé sous les ongles de la victime ou ailleurs.
 

5. Après son départ et pendant les deux jours suivants, l'agent spécial Severide s'intéresse au passé de la victime, Francis Bondarenko, son parcours professionnel et son éducation, ainsi que les établissements qu'il a fréquenté. Que ressort-il de ces investigations ?  Une quelconque liaison avec les deux premiers victimes et donc meurtres peut-elle être établie, seulement en s'intéressant à son passé et en contactant ses proches par téléphone pour l'instant, si il en a.

@ Jaguar

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@ JakeA

1. Cette fois-ci, aucune plaie à la tempe est apparente.

2.
La victime était effectivement sous l'emprise de l'alcool. Néanmoins, vu l'heure et la localisation, il est fort possible qu'il est pu s'alcooliser dans un bar.

3.
D'après les examens, le meurtrier se situait devant la victime. Toutes les blessures infligées sont post-mortem.

4.
De la fibre de jute est retrouvé sous les ongles de la victime.

5.
Étonnamment, la victime ne connaissait pas les victimes précédents. Ils n'ont même jamais côtoyés les mêmes endroits.

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L'agent spécial Severide continue ses investigations les jours qui suivent, insistant particulièrement sur le recueil d'informations concernant la victime, Francis Bondarenko.
 
1. Au cours de ces recherches, quelles informations sont rassemblées? Où habitait et travaillait-il?
 
2. Dans le but de vérifier et s'assurer qu'il y'ait ou non un lien même indirect avec les premières victimes, plus précisément un lien avec le mobile des meurtres établi par le FBI, il vérifie si la victime n'a pas été l'auteur ou potentiellement complice de maltraitances, bizutage ou autres faits similaires vis-à-vis d'une personne de son entourage, ou ceux qu'il a côtoyé dans ses établissements scolaires, ou au travail, notamment en contactant ces dits établissements.
 
3. Toujours dans l'optique de définir la corpulence et le poids probable du meurtrier, il vérifie auprès du service du médecin légiste, le poids, la taille de la victime, Francis Bondarenko, et si il est inscrit dans une salle de sport ou pratique une quelconque activité sportive. (arts martiaux, sports de combat ou sports en général)
 
4. Des tatouages, si présents sur le corps de la victime, laissent-ils penser qu'il est affilié à un mouvement particulier?
 
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1. Il habitait Mirror Park et était connu de ses voisins pour être assez fêtard, bruyant, un homme à femmes.


2. S'ils creusent suffisamment, jusqu'à sa scolarité par exemple, ils pourront effectivement apprendre que Francis faisait parti de ces brutes, au cœur des mêmes agissements que les précédentes victimes. En fouillant ses moyens de communication, ils s'apercevront qu'il harcelait d'ailleurs une jeune femme qui l'avait visiblement déjà repoussé.


3. Francis Bondarenko mesurait 1m75 pour 66 kg. Fin mais les muscles tracés, il était loin d'être une montagne de muscles. Il ne pratiquait aucun sport de combat mais fréquentait souvent le parc de street workout à Vespucci.

4. Aucun tatouage présent sur la victime.

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L'agent spécial Severide creuse alors plus en profondeur la piste de son téléphone, et plus généralement ses communications.
 
1. En remarquant, puis s'intéressant à ces dites communications avec la jeune femme, quel nom de contact Francis lui a-t-il attribué? Quel numéro peut être relevé?
 
2. Les conversations laissent-elles penser qu'ils se sont rencontrés ? Quel autre détail allant dans ce sens peut être remarqué par l'agent spécial en consultant leurs échanges?
 
 
 
 
 

 

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@ JakeA

1.
Sofia Martinez. 3575861. ((PNJ))

2. D'après les conversations, ils se seraient déjà rencontrés en boite de nuit. Puis ils se seraient revu pour boire un verre et la victime aurait eu un geste déplacé envers Sofia, qui l'aurait vivement repoussé. Depuis ce jour, elle refuse de le revoir. Ce dernier ne l'entendait pas de cette oreille et a continué à la contacter au point que cela devienne du harcèlement.

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