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[LSNN] Un P-996 Lazer est éclairé sur radar à plusieurs reprises par un objet volant non identifié dans la nuit du 9 au 10 juin alors qu'il survolait le littoral de Paleto Bay.


Roscoe
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Un P-996 Lazer de l'escadron de Fort Zancundo est éclairé sur radar à plusieurs reprises par une unité non identifié dans la nuit du 9 au 10 juin alors qu'il survolait le littoral de Paleto Bay
BY MIKE HARDMAN

Los Santos, SA - Plus de dix ans après l'incident du Nimitz*, la communauté scientifique du monde entier reste à nouveau sceptique suite à un évènement troublant dont a été victime un pilote de l'escadron de chasse de l'US Air Force basé sur San Andreas.

 


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Un pilote de P-996 Lazer qui s'apprête à décoller en post combustion

L'incident survenu dans la nuit du 9 au 10 juin 2021 concerne une rencontre radar entre un pilote et un objet volant non identifié sans confirmation visuelle survenu à 7000 pieds au dessus de la baie de Paleto. L'appareil effectuait une patrouille nocturne dans l'espace aérien de San Andreas lorsque ses systèmes de défense ont été alertés par un verrouillage hostile, le pilote de chasse n'a pas été en état d'identifier quel était la menace, son avion n'a pas été touché et il est rentré à la base sans encombre comme l'a confirmé l'attaché de presse de l'US Air Force dans la région qui n'a cependant pas donné d'explications supplémentaires.

 

Les analyses externes de l'incident sont diverses. Selon l'équipe de chercheur de l'Université de San Fierro il en ressort que le phénomène perçu a pour explication la plus probable des essais de missiles ou aéronefs secrets, peut-être un drone, plutôt que des « anomalies ». Le biologiste-océanologue Richard Leblanc de l'Université de Los Santos affirme être « très sceptique » quant à ces explications.

 

 

Nous avons décidé de recevoir Monsieur Leblanc dans nos locaux afin d'en tirer plus sur cet évènement étrange.

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Le biologiste-océanologue Richard Leblanc, ULSA


Richard Leblanc a grandit à Seattle ; avant d'intégrer l'université de Texas A&M où il passe un Bachelor of Arts and Sciences avant de se spécialiser en biologie maritime et en océanographie. Il poursuit par la suite sur un doctorat ; dont le sujet auquel il y travaille durant trois ans concerne la recherche des bactéries et cellules extra-terrestres dans les océans. Avant de devenir professeur-assistant et scientifique au département des études océanologiques de l'université de LS. San Andreas (ULSA). Il a mené plusieurs explorations et recherches dans les fonds marins et les abysses de l'Océan Pacifique ; collaborant avec l'université d'Hawaii à Manoa ; l'université de la Nouvelle-Calédonie et l'université nationale de Tokyo.

 

Bonjour Monsieur Leblanc, vous avez sillonné les fonds marins qui bordent San Andreas des centaines de fois, qu'avez-vous pu découvrir jusqu'à présent ?


Les fonds marins qui entourent notre île ainsi que le littoral de la longue côte ouest de San Andreas sont très riches en mauvaises nouvelles. On se rend compte que l'homme dans son chemin y laisse beaucoup de débris ; certes très intéressants pour l'exploration et la plongée sous-marine. Néanmoins tout ces déchets de la simple bouteille en plastique aux carcasses de machines de guerres ou des camions que nous n'avons toujours pas fait remonter à la surface - sont extrêmement nocifs pour la vie sous-marine. Rappelons tout de même que la faune sous-marine est essentielle pour notre atmosphère et donc notre vie en elle-même sur la planète.


- Quels sont les projets que mène l'équipe de plongée scientifique de l'Université ?

Le constat est sans appel ; nos recherches à l'ULSA ont conduits à engager une politique de nettoyage et de prévention écologique, sinon on fonce tout droit dans un mur. Pour nos plongeurs amateurs c'est certes impressionnant et fascinant lorsqu'ils découvrent tout ces débris laissés à l'abandon sur le littoral. Je le dis moi-même à mes étudiants ; tout cela est très grave. Il faut agir. En outre ; nous sommes en train de développer une cartographie beaucoup plus complexe et détaillée sur les eaux de la région. Nous avons remarqués une forte présence de méthane dans les eaux en général ; nous comptons établir un recensement de toutes les substances chimiques et organiques trouvées dans la région avant d'envoyer un rapport à l'EPA (Agence fédérale de la protection de l'environnement).

- Pensez-vous que l'armée nous cache quelque chose ?


J'ai beaucoup travaillé avec l'armée américaine voire même des armées étrangères dans le cadre de la recherche et l'exploration en haute-mer. Naviguer dans les eaux internationaux nous oblige constamment à communiquer avec les frégates aux alentours de nos zones de recherches. Dès lors je connais le sujet ; et vous pouvez me croire l'armée américaine ne nous dit pas tout dans nos coopérations. C'est évident ; je ne leur dis pas tout non-plus. Néanmoins on peut s'attendre à beaucoup de choses d'une entité aussi puissante et qui agit partout dans le monde - sans rentrer dans les diverses théories du complot farfelues auxquelles l'amérique s'en passerait bien!

 

Les experts de l'Université de San Fierro vous ont traité d'imposteur et de charlatan, quel est selon vous l'hypothèse la plus plausible sur cet incident et que comptez-vous mettre en place pour appuyer votre théorie ?


C'est de bonne guerre. Je tiens à souligner à mes collègues que le campus de mon université est beaucoup plus proche de la zone d'incidence que la leur et que je suis en meilleure posture pour parler - et que les témoignages recueillis sont beaucoup trop lointains de l'hypothèse d'un simple missile. Je tenais aussi à dire que l'armée ne pratiquerait jamais d'exercices dans les airs sur un point aussi proche qu'est la zone d'incidence en l'espèce, c'est-à-dire au niveau du littoral de Paleto Bay ; là où des civils innocents vivent! Comme vous le savez, je reste un scientifique et nous restons tous ensemble des scientifiques : nous avons besoin de preuves ; de voir du concret. Je compte organiser une mission d'exploration et donc de recherche au niveau du littoral avec les autres chercheurs de l'université et l'équipe de plongeurs de l'université. Nous avons aussi évoqués l'hypothèse d'un satellite qui se serait crashé en mer, ce qui est possible vu le nombre de débrits spatiaux au dessus de nos têtes! N'allons tout de même pas en besogne sur les théories idiotes que l'on peut retrouver sur internet.

 

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Révélation

OOC: Cet article est lié à un évènement IC conforme au Iore de San Andreas et dont découlera de nombreuses scènes en rapport avec l'ULSA et sa communauté scientifique, les découvertes et les recherches qui en découleront auront un impact pour la suite.

 

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